#rythme et couleur
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fashionbooksmilano · 2 years ago
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Bénédictus  Rythme et couleur de l’Art Déco
Gouaches, pochoirs, tissus (1922-1930)
Edizioni Carte Segrete/ Flammarion/ Musée Tissus Lyon, 1986, ps pages,24 x 30 cm, Broché, ISBN  9782080120571
euro 80,00
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Catalogue de l'exposition de Rome, Parme, Paris, Lyon 1986/1987
Présentation de l'oeuvre de l'artiste décorateur Edouard Bénédictus : gouaches originales pour le portefeuille "Variations", tissus et projets de tissus, tapis et projets de tapis.
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18/02/23
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lorienn-art · 10 months ago
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FR [Les Inséparables] Heyy ! Bon, cette illustration était sensée être pour la St Valentin mais vu que j'arrive pas à programmer mon rythme de création, je me retrouve à la poster aujourd'hui haha Bref, je suis super contente de cette illu ! J'arrive pas à croire qu'il m'ait fallu autant de temps avant de dessiner la pose Jotawife 💀 J'ai utilisé de la gouache et des crayons de couleurs pour des textures funky Les oiseaux représentés étaient sensés être des inséparables à la base mais j'ai finalement décidé de les rendre plus gros, plus duveteux, avec une queue plus longue et des couleurs différentes (donc oe juste des oiseaux imaginaires style perroquet ptdr) _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
EN [Lovebirds] Heyy! So yeah this piece was supposed to be for Valentines Day but I can't schedule my art process properly so I'm posting it today haha Anyway, I'm super happy with it! I can't believe it took me so long to draw the Jotawife pose 💀 I've used gouache paint and coloured pencils for funky textures hehe The birds represented here were at first supposed to be lovebirds but I eventually decided to make them bigger, fluffier, with a longer tail and different colours (so yeah just imaginary parrot-like birds lmao)
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dykeboi · 1 year ago
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Blaise Drummind, b. Liverpool, 1967. Gewaltige Raume Unerschlossenen Landes [Immensité des territoires inexplorés], 2007. Huile et collage sur toile
Blaise Drummond peint un symbole réalisé par le Corbusier 'Unité d'habitation de Marseille, dans un espace vierge et blanc avec au sol des tâches de couleurs. Une phrase en anglais rythme la façade: [Parfois je fais ce rêve où nous découvrons des pièces supplémentaires dans notre maison, comme une aile secrète. Elles sont presque d'élabrées mais ont un grand potentiel pour un projet d'extension et de restauration Un nuage beige, fait d'un morceau de couverture, surplombe le bâtiment et semble perturber la quiétude du paysage. Cette ceuvre est l'illustration parfaite des préoccupations de cet artiste anglais installé en Irlande, sur la rupture entre habitat et nature, l'homme et son milieu. En reprenant les emblèmes iconiques de l'architecture moderne, Drummond traite de la contradiction entre l'utopie moderniste, son industrialisation et les nouvelles conditions de vie assujerties.
Blaise Drummond paints a symbol made by Le Corbusier, "Habitation Unit of Marseille", in a blank white space with colored spots on the ground. A sentence in English punctuates the the facade: "Sometimes I have a dream where we discover these extra rooms in our house, like a secret wing. They are pretty dilapidated but have good potential for a sort of restoration extension project." A beige cloud, made from a piece of blanket, hangs over the building and seems to disturb the peacefulness of the scene. This work is a perfect illustration of the concerns of the English artist based in Ireland, of the rupture between habitat and nature, humankind and their surroundings. By reclaiming the iconic emblems of modern architecture, Drummond addresses the contradiction between modernist utopia, its industrialisation, and the new conditions of life subject to it.
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mizaryrottmnt · 5 months ago
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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mrsines · 1 month ago
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 2 : A la croisé des chemins
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Lucillia est une jeune femme  qui incarne la détermination et le sérieux. En tant qu'étudiante en criminologie, elle montre un grand engagement envers ses études, ce qui suggère qu'elle est passionnée par son domaine et désireuse d'apprendre tout ce qu'elle peut sur la criminalité et la justice.
Son comportement, qui consiste à ne jamais sortir les soirs de semaine, renforce l'image d'une personne disciplinée et concentrée sur ses objectifs académiques. Cela pourrait aussi indiquer qu'elle privilégie ses responsabilités sur les loisirs, ce qui peut être interprété comme une volonté de réussir dans un domaine exigeant.
Lucillia pourrait également avoir des traits de personnalité tels que la rigueur, la responsabilité et peut-être une certaine introversion, car elle semble préférer le temps passé à étudier plutôt que de socialiser. Cela pourrait aussi suggérer qu'elle a des ambitions élevées et qu'elle est prête à faire des sacrifices pour atteindre ses objectifs professionnels.
Aujourd'hui, c'était vendredi, et l'excitation flottait dans l'air. Lucillia se tenait devant son miroir, un sourire sur le visage alors qu'elle se coiffait pour l'anniversaire de sa meilleure amie, Maria. Elle avait choisi une robe élégante, avec des couleurs vives qui faisaient ressortir ses yeux. Les lumières de sa chambre brillaient doucement, créant une ambiance chaleureuse.
Soudain, la porte s'ouvrit et son père adoptif entra, un regard curieux sur le visage.
 "Alors, où comptes-tu aller habillée comme ça ?" demanda-t-il, avec une pointe de préoccupation dans la voix.
Lucillia se retourna, les mains dans les cheveux, et répondit avec assurance : "Je vais à la fête d'anniversaire de Maria. C'est important pour moi."
Son père fronça légèrement les sourcils, visiblement inquiet. "Tu sais que je préfère quand tu restes à la maison le vendredi soir."
Lucillia, sentant une vague de frustration monter en elle, répliqua fermement : "Je suis adulte maintenant. Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi. Je peux prendre mes propres décisions."
Un silence s'installa dans la pièce, et son père, réalisant qu'elle avait raison, soupira. "Je sais, Lucillia. Je veux juste que tu sois en sécurité. Mais amuse-toi bien, d'accord ?"
Lucillia acquiesça, un sourire apaisé sur le visage. "Merci. Je ferai attention." 
Elle se retourna vers le miroir, terminant sa coiffure, tandis que son père quittait la chambre, laissant derrière lui une atmosphère de compréhension et de respect mutuel.
☆○o。  。o○☆
Le soir était tombé rapidement, enveloppant la salle des fêtes d'une douce obscurité parsemée de lumières étincelantes. Les guirlandes lumineuses accroché aux murs projetaient des ombres dansantes, créant une atmosphère festive et chaleureuse. Lucillia, en entrant, fut immédiatement frappée par l'énergie qui régnait dans la pièce. Les rires et les voix s'entremêlaient, formant une mélodie joyeuse qui résonnait dans l'air.
La salle, décorée avec soin, était remplie de ballons aux couleurs vives flottant au plafond, tandis que des tables garnies de gâteaux, de bonbons et de boissons pétillantes attiraient les convives. Des amis de tous âges se mêlaient, certains dansaient déjà sur le rythme entraînant de la musique, d'autres discutaient avec animation, leurs visages illuminés par la joie de célébrer.
Lucillia, bien que ravie de voir tant de monde, se sentait étrangement à l'écart. Elle observait la scène, ses yeux parcourant les visages familiers et inconnus, se demandant ce qui avait bien pu inciter Maria à organiser une fête si grandiose pour un simple anniversaire. La foule semblait écrasante, chaque éclat de rire lui paraissant à la fois accueillant et intimidant.
Alors qu'elle commençait à se sentir submergée par le tumulte, une main douce et familière se posa sur son épaule. Elle se retourna brusquement et rencontra le regard pétillant de Maria. Sa présence était comme une bouffée d'air frais dans cette mer de visages. 
"Lucillia ! Je suis si contente que tu sois là !" s'écria-t-elle, sa voix chaleureuse se détachant du brouhaha ambiant.
Le sourire de Maria était contagieux, et Lucillia sentit une vague de soulagement l'envahir. La tension qui l'étreignait se dissipa lentement, remplacée par une chaleur réconfortante. Elle savait que, tant que Maria était à ses côtés, elle pouvait affronter cette soirée animée. Les deux amies se mirent à rire, partageant des anecdotes et des souvenirs, tandis que la fête continuait de vibrer autour d'elles, transformant peu à peu l'appréhension de Lucillia en une anticipation joyeuse.
La soirée battait son plein, et Lucillia se laissait emporter par les rythmes entraînants de la musique. Les lumières clignotaient au rythme des basses, créant une ambiance électrisante. Elle dansait avec entrain, ses mouvements fluides et joyeux, riant avec ses amis autour d'elle.Après quelques heures de fête, Maria, les yeux pétillants d'excitation, s'approcha de Lucillia.
 "Hé, tu veux qu'on s'échappe un moment ? J'aimerais passer un peu de temps rien que toutes les deux," proposa-t-elle, un sourire complice aux lèvres.
Lucillia, surprise mais ravie, hocha la tête. "Oui, bien sûr ! J'adore cette idée. Ça fait longtemps qu'on n'a pas eu un moment juste pour nous," répondit-elle, sa voix pleine d'enthousiasme.
Les deux amies se dirigèrent vers la sortie, laissant derrière elles le tumulte de la fête. Une fois à l'extérieur, l'air frais de la nuit les enveloppa, apportant un contraste agréable après la chaleur de la salle. Elles se trouvèrent  dans la rue avec les lumière de la ville.
"Regarde comme c'est beau ! Ça me rappelle nos soirées d'été," dit Maria, les yeux rivés sur le paysage illuminé.
Lucillia sourit en se remémorant ces moments. "Oui, et toutes nos discussions jusqu'à l'aube. On devrait vraiment en faire plus souvent," ajouta-t-elle, un brin nostalgique.
Maria tourna son regard vers Lucillia, son expression devenant plus sérieuse. "Tu sais, je suis vraiment contente que tu sois là ce soir. Parfois, j'ai l'impression que tout va si vite avec les cours , et j'ai besoin de ces moments avec toi pour me recentrer," confia-t-elle.
Lucillia, touchée par ses mots, lui prit la main. "Moi aussi, Maria. On doit toujours trouver du temps l'une pour l'autre, peu importe à quel point nos vies sont chargées," répondit-elle avec sincérité.
Les deux amies restèrent là, à discuter et à rire, profitant de cette parenthèse enchantée dans la soirée, renforçant leur lien précieux.
Les deux amies marchaient tranquillement, profitant de la fraîcheur de la nuit. Alors qu'elles passaient devant un magasin encore illuminé, une enseigne colorée attira leur attention. C'était là que se trouvait Lilia Calderu, la fameuse femme qui lisait les lignes de la main. Les lumières scintillantes du magasin créaient une atmosphère intrigante, presque mystique.
Maria, les yeux brillants d'excitation, s'arrêta brusquement. 
"Regarde, Lucillia ! C'est là ! On devrait vraiment y aller. Ça serait super intéressant de voir ce que Lilia a à dire," proposa-t-elle, le ton enjoué.
Lucillia, cependant, ne partageait pas l'enthousiasme de son amie. Elle haussait les épaules, l'air perplexe. "Je ne sais pas, Maria. Je pense que c'est juste du commerce. Ces choses-là, ça ne me parle pas vraiment," répondit-elle, un soupçon de scepticisme dans sa voix.
Maria insista, un sourire charmeur aux lèvres. "Mais non ! Lilia est une vraie devineresse. Tout le monde dit qu'elle a des dons incroyables. Tu pourrais découvrir des choses sur toi-même que tu ne soupçonnes même pas," argumenta-t-elle, tentant de convaincre Lucillia.
Lucillia plissa les lèvres, hésitant. "Tu sais que je ne crois pas trop à ces trucs. Ça me semble un peu... farfelu," dit-elle, en regardant le magasin avec une certaine méfiance.
Maria, ne se laissant pas décourager, s'approcha d'elle et lui prit le bras. "Allez, fais-le pour moi ! Juste un petit tour, et si tu n'aimes pas, on s'en va. Promis, ça ne prendra pas longtemps," proposa-t-elle, avec un regard suppliant.
Lucillia soupira, mais un sourire commençait à se dessiner sur son visage. "D'accord, d'accord. Mais si je me sens ridicule, c'est sur ta conscience !" finit-elle par céder, amusée par l'insistance de sa meilleure amie.
Maria éclata de rire, ravie. "Merci, Lucillia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !" s'exclama-t-elle, entraînant son amie vers la porte du magasin, impatiente de découvrir ce que Lilia avait à leur révéler.
En entrant dans le magasin de Lilia , Maria et Lucillia furent enveloppées par une douce odeur d'encens et un éclairage tamisé qui donnait à l'endroit une atmosphère presque magique.
Soudain, une porte s'ouvrit à l'arrière-boutique, et Lilia apparut. Ses cheveux longs et bouclés tombaient en cascade sur ses épaules, et son sourire chaleureux illuminait la pièce. Elle fixa les deux jeunes femmes avec des yeux pétillants de curiosité.
"Bienvenue, mes chères," dit-elle d'une voix douce et accueillante. "Que puis-je faire pour vous aujourd'hui ?"
Maria, pleine d'enthousiasme, se tourna vers Lucillia, un léger sourire sur le visage. Elle poussa doucement son amie, lui murmurant : "Allez, Lucillia, c'est à toi. Je vais te laisser."
"Alors, qu'est-ce qui t'amène ici ?" demanda Lilia, s'approchant de Lucillia avec une bienveillance palpable.
Lucillia se tenait dans le magasin de Lilia, entourée de l'odeur apaisante des bougies parfumées et des fleurs fraîches. Pourtant, malgré cette atmosphère réconfortante, elle se sentait piégée, comme si une partie d'elle voulait fuir cette situation, tandis qu'une autre partie désirait ardemment rester et profiter de ce moment.
Elle plongea son regard dans celui de Lilia, cherchant du soutien dans ses yeux pétillants. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres, et elle murmura,
 "C'est surtout ma meilleure amie qui m'a convaincue de venir ici." Sa voix tremblait légèrement, trahissant son hésitation.
Lilia, avec son sourire délicat et réconfortant, répondit, "Je suis ravie que tu sois là. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un pour nous encourager à sortir de notre zone de confort." Elle désigna une petite table en bois, ornée de bougies allumées qui dansaient doucement dans la lumière tamisée. "Viens, installe-toi à cette table," invita-t-elle avec une gestuelle accueillante.
Lucillia, se sentant un peu plus à l'aise, acquiesça et se dirigea vers la table. Elle s'assit, ses doigts caressant la nappe en lin, un peu froissée mais propre, tandis que Lilia s'asseyait en face d'elle, créant une ambiance intime entre elles.
Dans le petit magasin de Lilia, l'air était chargé d'une douce chaleur, et le parfum des herbes séchées flottait autour d'elles. Les rayons de lumière filtraient doucement à travers les fenêtres, illuminant les coins sombres du magasin.
Lilia, avec une grâce presque féerique, s'approcha de Lucillia. Ses doigts, délicats et agiles, se déplacèrent lentement vers la main de Lucillia. Lorsqu'elle prit délicatement sa main, un frisson parcourut la colonne vertébrale de Lucillia, une sensation douce et réconfortante qui la fit sourire.
"Personne n'a jamais vraiment su lire mes lignes de mains," murmura Lucillia, sa voix teintée d'une légère hésitation mais aussi d'un amusement palpable. 
Ses yeux brillaient d'une curiosité nouvelle, tandis qu'elle regardait Lilia avec une tendresse palpable.Lilia, intriguée et amusée, leva les yeux vers Lucillia, un sourire espiègle se dessinant sur ses lèvres. 
"Est-ce que tu me mets à l'épreuve ?" demanda-t-elle, son ton à la fois sérieux et taquin, comme si elle était prête à plonger dans l'inconnu des mystères que recelaient les lignes de la main de son amie.
Lucillia, surprise par cette réponse, sentit son cœur battre plus vite. Elle hocha la tête, un sourire timide illuminant son visage.
  "Non je ne me permettrai pas.Peut-être que vous serez la première à pouvoir le faire," répondit-elle, sa voix douce et pleine d'espoir.
Les deux amies restèrent là, leurs mains entrelacées, créant un moment suspendu dans le temps, où le monde extérieur semblait disparaître, laissant place à leur connexion profonde et authentique.
L'atmosphère dans le magasin était devenue tendue, presque électrique. Lilia, avec une grande délicatesse, commença à passer ses doigts sur les lignes de la main de Lucillia, espérant déchiffrer les secrets inscrits dans sa paume. Mais à sa grande surprise, quelque chose d'étrange se produisit. Les lignes semblaient floues, comme si elles se dérobaient à son toucher.
Lilia fronça les sourcils, perplexe. "C'est bizarre," murmura-t-elle, ses doigts s'arrêtant brusquement. Elle tenta de se concentrer, mais plus elle forçait ses pouvoirs à fonctionner, plus le magasin semblait réagir. Les lumières vacillaient, et un léger bourdonnement se faisait entendre, comme si l'électricité elle-même était perturbée.
Lucillia, observant le visage de Lilia, sentit une vague d'inquiétude l'envahir. "Est-ce que ça va ?" demanda-t-elle, sa voix trahissant une légère anxiété. Elle pouvait voir que Lilia était troublée, comme si elle luttait contre une force invisible.
Lilia, toujours plongée dans ses pensées, finit par poser son regard dans celui de Lucillia. Il y avait une intensité dans ses yeux, un mélange de confusion et de curiosité.
 
"C'est vraiment étrange," dit-elle enfin, sa voix presque un murmure. "Je n'ai jamais rencontré une main qui refuse de se laisser lire.Peut-être devrions-nous essayer de comprendre ce qui se passe avant de continuer," proposa-t-elle, une lueur de détermination dans ses yeux.
Lucillia regarda alors Lilia dans les yeux, une lueur d'interrogation dans son regard. Leurs mains étaient toujours liées, comme si un fil invisible les reliait, et pour une raison étrange, cela ne dérangeait pas les deux femmes. Au contraire, un sentiment de sécurité émanait de ce contact. Leurs mains se serrèrent un peu plus, comme si elles cherchaient à capter une énergie. Puis, après un moment de silence, Lilia relâcha doucement la prise.
 « Tu devrais y aller. Fais attention à toi, d'accord ? »
Lucillia acquiesça, un mélange de gratitude et d'appréhension sur le visage. «Oui.. »
Lilia la regarda partir, son cœur battant un peu plus vite. Lucillia se dirigea vers sa meilleure amie, le cœur encore palpitant de cette rencontre inattendue.
« Tu ne devineras jamais ce qui vient de se passer, » commença-t-elle, les yeux brillants d'excitation. 
Sa meilleure amie, intriguée, l'écouta attentivement. « Qu'est-ce qui s'est passé exactement ? Raconte-moi tout ! »
Lucillia prit une profonde inspiration, prête à partager chaque détail de cette expérience qui pourrait changer leur vie.
☆○o。  。o○☆
Le lendemain matin, Lucillia était debout dès l'aube, le ciel encore teinté de nuances orangées. En réalité, elle n'avait pas dormi du tout, son esprit tourbillonnant de questions. Pourquoi personne ne voulait lire les lignes de ses mains ? Pourquoi tout ce mystère autour de son destin ?
Elle se leva lentement, ses pensées encore embrumées par la nuit blanche. Dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir. Son reflet lui renvoyait une image fatiguée, mais déterminée. Elle prit une grande inspiration, essayant de rassembler ses pensées.
Ses yeux se posèrent sur son collier, une simple pierre noire suspendue à une chaîne. Elle l'avait toujours porté, ne l'ayant jamais enlevé depuis son enfance. Sa surface lisse et froide semblait lui murmurer des secrets oubliés.
« Qu'est-ce que tu es censée représenter ? » se demanda-t-elle.
Lucillia sentit une vague de curiosité l'envahir. Elle avait besoin de comprendre ce lien, ce symbole qui l'accompagnait depuis si longtemps. Elle se promit de chercher des réponses, de percer ce mystère qui l'entourait.
Avec une nouvelle détermination, elle se prépara pour la journée, prête à affronter ce qui l'attendait.
Lucillia avait donc décidé d'aller voir la seule personne qui pourrait l'aider : Lilia. Avec une détermination nouvelle, elle se dirigea vers la boutique de cette dernière, un petit endroit chaleureux rempli de senteurs envoûtantes et de couleurs vives. L'air était frais, et chaque pas la rapprochait de la réponse qu'elle cherchait.
Une fois arrivée, elle poussa la porte en bois, et un petit carillon retentit, annonçant son arrivée. Lucillia jeta un coup d'œil autour d'elle, ses yeux se posant sur Lilia, qui était en train de préparer du thé. La lumière douce du matin filtrait à travers les fenêtres, illuminant le visage de Lilia, qui semblait radieuse.
« Bonjour, Lucillia ! » s'exclama Lilia en levant les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage. Elle la trouva très belle, avec une aura de mystère. « Que puis-je faire pour toi aujourd'hui ? »
Lucillia, un peu nerveuse, s'approcha de la table où Lilia avait disposé des tasses délicates. « Bonjour, Lilia. Je… j'ai besoin de ton aide. »
Lilia, toujours en train de verser le thé dans une tasse, l'invita à s'asseoir. « Prends une tasse de thé d'abord. Ça te fera du bien. »
« Merci, » répondit Lucillia, s'installant sur une chaise en bois.
 Elle observa Lilia, qui lui tendit une tasse fumante. L'odeur du thé était apaisante, mais son esprit était encore agité.
« Alors, qu'est-ce qui te tracasse ? » demanda Lilia, s'asseyant en face d'elle, ses yeux pleins d'attention.
Lucillia hésita un instant, puis expliqua : « J'ai ce collier avec une pierre noire, et je sens qu'il cache quelque chose d'important. Personne ne veut lire les lignes de ma main, et je me demande pourquoi. »
Lilia l'écouta avec soin, son regard sérieux. « Les lignes de la main peuvent révéler beaucoup de choses, mais parfois, il faut aussi écouter les objets qui nous entourent. Dis-moi en plus sur ce collier. »
Lucillia prit une gorgée de thé, se sentant un peu plus à l'aise, prête à partager le mystère qui l'intriguait tant.
Lucillia, les mains tremblantes, tourna son regard vers Lilia, le cœur battant. « Je… je ne sais rien de ce collier, » avoua-t-elle, sa voix à peine un murmure. « Je l'ai depuis que je suis bébé. Mes parents adoptifs m'ont dit qu'il était déjà là dans mon berceau. »
Elle leva doucement la main, montrant le collier à Lilia sans l'enlever de son cou. La pierre noire brillait d'un éclat mystérieux, comme si elle contenait des secrets inavoués.
Lilia, fascinée, s'approcha lentement, son regard fixé sur la pierre. « Puis-je ? » demanda-t-elle, tendant la main avec précaution. 
Lucillia hocha la tête, son souffle se faisant plus court alors que Lilia touchait la pierre.Lorsque Lilia prit la pierre entre ses doigts, une chaleur douce se répandit dans l'air. Les deux femmes se retrouvèrent extrêmement proches, leurs souffles s’entremêlant. Lilia pouvait sentir l'énergie émanant du collier, et elle murmura, presque à elle-même : 
« C'est un collier de protection. »
Lucillia, surprise, écarquilla les yeux. « Protection ? Qu'est-ce que cela veut dire ? »
Mais en réalisant à quel point elles étaient proches, Lilia se sentit soudainement étrange. Elle recula légèrement, ses joues teintées d'une légère rougeur. « Avec ce collier personne ne peux t'atteindre. La personne qui te la donné tenez beaucoup à toi.»
Lucillia se mit alors à sourire, une lueur de bonheur illuminant son visage. Elle leva délicatement sa tasse de thé, la chaleur de la boisson réconfortante se diffusant dans ses mains. En prenant une gorgée, elle savoura le goût épicé qui dansait sur sa langue, puis se lécha les lèvres avec satisfaction, un geste à la fois innocent et séduisant.
Soudain, un bruit de cloche retentit, signalant l’ouverture de la porte du magasin. Lucillia tourna la tête vers l'entrée, son sourire s'élargissant à la vue de Lilia, Agatha et Ivana qui firent leur apparition.
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rpirquet · 2 months ago
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📷 "ADN — Art dans Nancy", MOMO, 2019 — Nancy
Avec "ADN - Art dans Nancy", la Ville de Nancy a affirmé comme priorité le développement de l'art sur l'espace public, dans la continuité des actions déjà menées avec les installations de Daniel Buren, Pierre Bismuth, François Morellet ou Robert Stadler. Ainsi des artistes locaux (Gé Pellini, Gilbert Coqalane, Moulin Crew et Kogaone), nationaux et internationaux (Vhils, Jef Aérosol, David Walker, Lang / Baumann, Graphic Surgery ...) ont été sollicités pour poser leur regard sur les murs ou les sols de la cité.
Dans cette dynamique, la Ville de Nancy sous la direction artistique du Musée des Beaux-Arts a passé commande à l'artiste américain MoMo pour une fresque éphémère sur la Caserne Joffre qui sera visible jusqu'en 2023.
Cette fresque éphémère dialogue avec l'architecture par des arrangements quasi musicaux d'harmonies de couleurs et de rythmes en utilisant une technique très spécifique de mélange de teintes appelée la moyenne additive. La volonté n'est pas d'être dans une approche de représentation, mais dans une démarche sensuelle ou les traits fins et concentriques sont conçus pour fonctionner en demi-tons, présentant une peinture murale de couleurs séparées en plan rapproché et une seconde dans un plan plus élargi créant un effet d'optique de mélanges de
MOMO est un artiste travaillant dans l'espace public avec des outils qu'il fabrique lui même. Né à San Francisco en 1974, il a voyagé une grande partie de sa vie, et travaille en Floride. Ces premières œuvres étaient souvent éphémères et non autorisées, touchant à de nombreux domaines allant du collage au codage informatique.
Ces travaux plus récents se concentrent sur les peintures murales souvent sous formes de commandes de Musées, municipalités ou structures privées dans une douzaine de pays. En plus de son travail sur l'espace public, momo développe un travail d'atelier et crée des peintures, dessins et sculptures pour des Galeries.
Cette œuvre a bénéficié de l'aide logistique de l'association "le Mur Nancy" et du partenariat de la Métropole du Grand Nancy et du Service Départemental d'incendie et de sécurité de Meurthe-et-Moselle.
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ernestinee · 4 months ago
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J'ai terminé de lire "Réparer les vivants" et j'en parlerai une autre fois.
J'ai commencé "Les papillons", c'est écrit par Barcella et c'est assez poétique, dans le sens où parfois ça rime, et j'ai zéro atome crochu avec les rimes en général. Parfois ça rime et parfois ça ne rime pas mais c'est le rythme de lecture qui semble induit par les mots utilisés.
Si ça rime, j'ai les mots qui riment qui se mettent en exergue, comme s'ils apparaissaient en gras, et j'ai du mal à me concentrer sur la signification. Pour les textes en prose, ce sont des citations, des mots importants, les mots des ressentis, les mots des portraits, et c'est tout un plan qui se crée entre mes yeux et les pages, avec du gras, de l'italique, du surlignage et des couleurs. Quand je dis "entre mes yeux et les pages", c'est presque littéral. J'ai comme un plan en surbrillance et je sais le consulter du coin de l'oeil. C'est comme ça que l'histoire s'installe dans mon cerveau, c'est très visuel.
Je suis incapable de comprendre aussi précisément une histoire écoutée. C'est pareil avec les podcasts. Ma perception auditive est tronquée car j'entends les tics de langage, je détaille mentalement la position des organes phonateurs, le placement un peu trop décalé d'un apex ou sa tension un peu trop forte par rapport au souffle qui doit sortir. J'entends l'accentuation des mots, la nasalité ou le voisement, j'entends où se crée le R, où se liquéfie le L, je sens la tension dans le risorius quand un CH est prononcé. Le contenu me demande une concentration profonde. Dans une conversation c'est différent, la dynamique du discours simplifie l'accès au sens.
La lecture associe une perception visuelle, les mots qu'on voit, à une évocation multimodale : verbale car je vois les mots en gras et en couleurs, je crée un plan, visuelle car je vois une sorte de petit dessin animé et auditive car les mots chantent, j'entends parfois une voix, pas forcément la mienne, qui me lit le texte. Une quatrième évocation pourrait exister, celle du ressenti, ça m'est arrivé dans "réparer les vivants". L'évocation varie d'une personne à l'autre, en général dans un mélange équilibré des 4 modalités. Lorsqu'une modalité est surinvestie au détriment des autres, on tombe parfois dans le pathologique, avec des troubles dans la compréhension. Cette association perception-encodage est la base de la gestion mentale et répond parfois à des questions auxquelles je ne savais pas répondre avec ma seule formation de logopède.
Whah ce billet est plus technique que ce que je pensais.
J'apprends dans la foulée que Barcella est un chanteur, du coup c'est un homme et j'ai cherché son identité quand les premières pages décrivaient la mini jupe d'une demoiselle. J'ai soufflé un peu pcq bon. Mais en vrai ça sert à l'histoire, il consacre plusieurs pages à être blasé des femmes avec qui il est et à ne voir que leurs défauts. Je crois que j'ai lu une majorité de livres écrits par des femmes cette année. Barcella a l'air cool et il est même le parrain d'une association dont je fais partie ("on souffle dans ton dos" pour l'immersion scolaire des enfants autistes et handicapés). Bref je vais essayer de m'imprégner du rythme propre à cette lecture qui a l'air assez poétique et au pire je viendrai râler ici si ça m'énerve.
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cheminer-poesie-cressant · 1 year ago
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comment le jour pourra me trouver perdu dans un vertige ascensionnel qui semble faire chuter chaque image qui se présente dans l’instant ?
parfois nous nous réglons sur la profusion de l’animé, d’une étincelle à une extinction, d’une verticale à un effondrement, d’une ligne à un soutien, d’une couleur à une autre, sans réserve, sans mesure ; nous réglons notre rythme sur celui exact des battements du visible et nous voyons ce qu’il est capable de traverser, d’envelopper, de vivre, de repousser, dans un délire qui subjugue tout, une hallucination de combat
© Pierre Cressant
(mardi 4 octobre 2022)
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fashionbooksmilano · 8 months ago
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Style Elle Nos Années 60
François Baudot - Jean Demachy
Filipacchi, Paris 2002, 182 pages, 18x23cm, ISBN 9782850187476
euro 40,00
email if you want to buy [email protected]
La mode des années 60 autorise toutes les folies, encourage toutes, les audaces. De jeunes couturiers s'en donnent à cœur joie : Paco Rabanne s'attaque au métal pour Françoise Hardy, Pierre Cardin se joue des formes et des couleurs, Yves Saint Laurent ouvre sa propre maison de couture... Et les robes de Courrèges virevoltent dans les surprises-parties au rythme de Bob Dylan ou de Johnny, l'idole des jeunes. La mode aussi a ses idoles : les top-models font leur apparition. La fine silhouette de Twiggy et les grands yeux clairs de la " Shrimp " s'affichent un peu partout sur papier glacé. La popularité des stars hollywoodiennes ou de " Salut les Copains " se mesure dans la rue où l'on adopte le chignon impeccable d'Audrey Hepburn et les couettes ébouriffées de Sheila. Quarante ans plus tard, nous continuons d'être fascinés par cette décennie enchantée. Mieux qu'aucun miroir, ELLE a su en saisir tout l'éclat et les nuances. Et c'est à travers son prisme que nous pouvons la redécouvrir aujourd'hui.
16/04/24
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behind-theveil · 2 years ago
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Le soleil se couche sur l’île de Waydon. Sa couleur orangée balaie les planches blanchies des vieilles bâtisses encore debout, tandis que sur le perron de certaines maisons, des cafés se prennent après le dîner. Rocking chair se balancent à l’infini, tabac se chique encore et enfin, on profite d’une fraîcheur longtemps attendue en sortant parfois une guitare, en allumant souvent la radio et en jouant aux cartes tout en regardant les rares voitures passer dans le coin.
La vie se déroule paisiblement ici. Pas de chichi, pas de problème. L’île est petite, et le sud se vit ainsi.
Jusqu’à ce que…
Trois corps retrouvés. Dans les marécages de l’île. Plus de guitares sur le perron qui font sonner la mélodie du sud, plus de rocking chair grinçant jusque tard dans la nuit. On se barricade, on s’interroge. Le fusil de chasse à l’épaule, on explore les marécages.
Et dans les QG de l’Ordre, on réalise. Ces corps, ce sont ceux des personnes dont ils préservent le secret. A tout prix. Pour éviter une nouvelle chasse aux sorcières à travers le pays et le monde.
On les appelle surhumains. On les a longtemps appelés dieux, esprits, chimères, sorciers, démons.
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EXPLICATIONS
Le genre du forum est "low fantasy", ce qui veut dire qu'il y aura quelques légers éléments fantastiques au sein du contexte, ayant relativement peu d'impact (pour l'instant) sur le forum.
L'ambiance et l'histoire du forum sont d'inspiration american/southern gothic, far cry 5, split, the wicked deep, gallant.
L'histoire se déroule sur l'île de Waydon en Caroline du Sud.
Il y aura 3 types de personnages jouables : les humains / les humains de l'Ordre / les surhumains
L'Ordre est un groupe secret fondé à l'époque de la chasse aux sorcières qui s'est juré de préserver à tout prix le secret des surhumains. A tout prix, ça veut dire qu'ils sont capables de se débarrasser de ceux qui veulent utiliser leurs dons de manière trop visible.
Les surhumains sont des humains nés avec des capacités spéciales. Ces naissances sont aléatoires et n'ont pas de liens génétique - bien que l'Ordre ait constaté une certaine prévalence vers les descendants de lignée ayant compté plusieurs surhumains.
La liste des capacités surhumaine sera donnée plus tard, vous pourrez en ajouter (à faire valider par le staff). L'idée est de garder des capacités spéciales qui ne soient pas trop spectaculaires et puissantes.
Enfin, le rythme rp demandé sera de 1 rp/mois (mais sans pression, les absences sont là pour prendre du recul si besoin)
Un discord spécifique verra bientôt le jour... stay tuned :)
Le projet est construit par @decrescxndo et @ultra-violences
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rizwans · 1 year ago
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in our hallmark movie era ✨✨✨ la neige tombe à gros flocons, ton barista tente de te convaincre que la menthe est une saveur acceptable pour agrémenter ton chocolat chaud et la rue se transforme en patinoire, occasion idéale pour tomber dans les bras d'un.e inconnu.e façon comédie romantique. it's frost fae winter, baby! la v9, en bref: - de douces couleurs hivernales - lac gelé, pluie d'étoiles filantes, concours de bonhommes de neiges, tropes à gogo ("oh non, il a trop neigé et maintenant nous sommes coincés dans cette cabine de bûcheron...") et autres réjouissances de fin d'année - un dc gratuit pour les membres et les nouveaux arrivants ! ftf, c'est quoi ? - ouvert depuis le 5 mars 2022. qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige - on est là. on a eu des périodes fastes, des creux énormes, et on continue de mener la barque quoi qu’il arrive, que notre qeel affiche complet ou pas. - no discord(e) (lol) (vive l’humour) (bref) - forum city low fantasy, avec ce qu’il faut de touche fantastique pour pimenter le rp, résolument tourné vers le slice of life, enrichi et sublimé par l’imagination et la créativité de nos membres. don’t let the sparkles fool you!  - un rythme tranquille, activité surtout en fin de semaine - au début, ça peut paraître déroutant mais juré, on s’y fait et c’est hyper reposant. 🫶 - 1 rp par mois, des joueur.eu.ses matures et bienveillant.e.s, ambiance chill et conviviale. viens parler jeux vidéo, livres ou séries entre deux rps!  http://follow-the-fairies.forumactif.com http://follow-the-fairies.forumactif.com http://follow-the-fairies.forumactif.com
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plexussolaire · 1 year ago
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Détresse d'une bonne prof
31.08.2023
Cette année, c’est ma cinquième rentrée.
Je suis arrivée en 2019 en tant que professeure de français. Je ne pense pas avoir fait le mauvais choix, en passant ce concours et en faisant ce métier. Les débuts ont été effrayants et difficiles, faute de formation convenable. Je suis tombée sur des classes compliquées dès la première année, et puis il y a eu le covid. J’ai longtemps eu peur de ne pas réussir, j’étais exigeante envers moi-même et un peu timorée pour croire en mon autorité naturelle. Mais le métier s’est fait, l’expérience s’est construite, maintenant je suis le mirador qui voit tout (ou croit tout voir), je répète en boucle les règles et les limites, les élèves m’ont dit qu’ils se sentaient bien avec moi et que j’expliquais bien. Certains trouvent mon cours intéressant, je peux leur parler sans qu’il y ait de tension et c’est déjà ça. Les petits fauteurs de trouble m’apprécient dans l’ensemble, parce que je ne les laisse pas tomber. Je suis reconnue comme une bonne prof, à mon échelle. Déjà puisque je suis pleinement là, avec toute mon énergie, avec le plaisir de chercher à donner le meilleur de ce que j’ai, et de leur montrer comme j’aime parler de littérature.
Je ne fais pas mille projets par an, je n’ai pas l’ambition de devenir inspectrice, je ne fais pas des jeux, je ne crée pas d’escape game ni ne plastifie des quizz de toutes les couleurs. Je suis vieux jeu, mais pour les petits loups que j’accompagne, parfois c’est rassurant et cadrant. Ils apprennent des choses, ils se souviennent d’informations l’année d’après pourtant très loin de leurs vies quotidiennes. Ils peuvent rire dans ma classe, ils peuvent s’exprimer, ils sont parfois remuants mais reviennent toujours au calme quand c’est nécessaire. Les ados sont différents d’il y a dix ans et je leur souhaite d’embrasser ces changements qu’on voudrait les empêcher d’incarner, sous prétexte qu’ils ne sont “plus au niveau”, et qu’on ne leur répétera jamais assez. Et puis je les aime, inconditionnellement et sans attente, et ça c’est déjà quelque chose.
Le problème c’est de dire immédiatement, comme présupposé, que ça aurait pu être un mauvais choix. Plus à aucun moment on ne parle de bon choix d’être prof. On finit prof. C’est ma cinquième rentrée demain, je vais retrouver mes collègues chouettes, ce collège que je connais faute de l’apprécier vraiment, étant donné qu’il tombe en ruine (littéralement, il penche) et sue le béton, dans un quartier moche et au milieu des cités. Je vais retrouver les élèves et faire mieux que l’année dernière. Je vais développer mes activités syndicales et apprendre plein de choses, car moi aussi j’apprends tous les jours quand je vais au collège. Je suis une vieille prof, maintenant. Je fais partie des murs, comme on dit. Mais cette année encore, je suis terrorisée.
Mais ça il faut bien que je me garde d’en parler à tout ceux qui ne sont pas prof. Personne ne regarde cela d’un bon oeil et quand on raconte ce qu’on vit vraiment au quotidien, on est juste pénibles. On se plaint alors qu’on a des vacances. On se plaint alors qu’on est fonctionnaire, et qu’on ne doit “que 18H”. J’ai commencé de préparer mes cours le 1er août. C’est un choix, je peux organiser mon travail comme je veux. Au début c’était une heure par jour, puis deux, puis trois, puisque c’est un travail infiniment long, qui demande de faire une tâche en plusieurs heures, parfois plusieurs jours, et qu’on n’est pas sûr qu’elle fonctionnera auprès des élèves. Cela fait une semaine et demi que je travaille plus de sept heures par jour. Je n’arrive pas à me rendre compte du résultat obtenu. Certaines choses vont être abandonnées, car je ne connais pas encore le profil de mes classes ou le caractère de mes élèves, leur rythme, ou leurs difficultés. J’ai peut-être deux mois de prêt. Je travaillerai pendant tous les weekend et toutes les vacances. Ce travail est invisible. Dans le privé, on vous parlerait de télétravail. Je compterai le nombre de jour de “vacances” réels que j’ai cette année, mais je pense qu’ils sont moins impressionnants que prévus, et cela avec 5 ans d’expérience et des cours un peu rodés.
Je travaille, et je ne gagne pas grand chose pour tout ce que je fais, pour la fatigue accumulée et les problèmes de santé mentale que mon travail me cause. Souvent la dernière semaine avant les vacances, je pleure. Je pleure de fatigue et de désespoir. Ça dépend des périodes, parfois c’est dès la deuxième semaine. Des fois je me contente d’arrêter de vivre et de serrer les dents en attendant les vacances. Car corriger, préparer, diriger, punir, encourager, parler, parler, écouter, consoler, répéter, parler, répéter encore, dix fois, vingt fois, s’interrompre, exiger, appeler, parler encore, et fort, toute la journée, ça brûle à petit feu toutes les réserves.
C’est le bruit surtout qui vous roule dessus. Le bruit des cris, le bruit des disputes, le bruit cours de travaux en groupe à 30, le bruit des couloirs qui résonnent, plus puissant qu’un moteur d’avion par période, le bruit de la salle des profs plein d’enseignants encore dans le flux de stress et de bruit. Le bruit des sonneries, le bruit de la ville, et tous les bruits ensuite qui vous assaillent jusque chez vous. Chaque jour, même quand vous n’avez pas la force, vous devez affronter ce bruit et parler, assurer le silence pour qu’ils soient 30 à vous écouter, du haut de votre mètre cinquante huit, dans une salle trop longue et mal prévue pour accueillir ces bruits. Parfois, dans ces salles, il fait 40°C et il n’y a pas de limite légale qui nous autorise à ne pas assurer le cours quand on sent qu’on a chaud à en vomir.
Parfois, le président nous dit qu’il faudrait qu’on revienne bosser le 20 août, donc par 40°C, avec des gosses qui se révolteront car déjà ils n’aiment pas l’école et vous êtes là pour les torturer. Parfois il nous dit qu’il faudrait bosser plus, et faire nos formations pendant les vacances et le mercredi après-midi, sans prendre en compte que l’on bosse déjà plus, depuis longtemps. Nous avons besoin du mercredi pour préparer les cours, et des formations en semaine pour faire une pause de nos élèves et apprendre à être meilleure à ce que l’on fait. On est seul dans sa classe, sans retour ni commentaires, parler en formation fait parfois du bien. Prendre du recul est essentiel.
Et puis il nous promet le pacte. Un moyen d’encadrer des actions pédagogiques que l’on fait déjà en heure supplémentaire. Comprenez bien que le plus précieux dans notre métier, c’est la liberté pédagogique que nous devons à notre statut si privilégié de fonctionnaire. Le droit de choisir comment l’on enseigne, selon une durée légale, que l’on peut augmenter moyennant des heures supplémentaires en remplaçant des collègues pendant leurs absences, afin d’assurer un suivi qui nous semble pertinent. Le pacte veut obliger les professeurs à faire ce qu’ils font déjà. Le pacte retire la liberté pédagogique. Si l’on ne remplace pas 18H d’absence de nos collègues (moyennant 36H de présence obligatoire au collège), nous ne pourront pas assurer les autres missions qui nous tiennent à coeur, et qui monteront nos heures supplémentaires bien au-delà de ce que nos corps pourront souffrir. Nous gérons notre temps, car la pédagogie demande du calme et de la clarté d’esprit. 50h supplémentaires par an, c’est subir des heures et nous mettre en colère pour le moindre mouvement de table, ou le moindre cahier oublié par mégarde. C’est briser petit à petit le lien qui nous unit aux élèves, faute d’énergie pour maintenir la confiance.
Le pacte veut nous offrir plein d’argent en échange. Mais attendez, pas trop vite. Cela dépendra de votre ancienneté, plus vous êtes ancien, moins vous aurez besoin d’argent pour vous donner l’envie de rester. On vous pousse plutôt vers la sortie. Sans compter que ce ne sont que des primes, qui ne seront pas prises en compte pour la retraite. Sans les primes REP et autres primes d’activité que je dois à mon jeune âge, je ne toucherais presque rien. En fait, dire que tous les profs seront payer 2000€ dès le début de leur carrière, reviendront à dire qu’ils seront payés pareil au bout d’un an et au bout de 8 ou 9 ans de carrière. Grâce au pacte, les dix ans de carrière vont même voir leur salaire baisser. Les mères n’auront pas cette possibilité d’avoir les primes et n’auront plus l’occasion de se former, puisque ce sera le mercredi après-midi. Pourquoi les professeurs ne veulent pas du pacte, demande Léa Salamé à Gabriel Attal sur France Inter la veille de la rentrée, et bien parce que c’est une réforme profondément injuste et méprisante.
Le plus dur de ce métier, c’est l’absence de respect. J’allais dire l’absence de reconnaissance, mais ça c’est le salaire le plus rare du système capitaliste. Depuis que j’ai commencé, il n’y a pas eu un mois, que dis-je, une semaine, sans l’annonce d’un projet menaçant qui nous promettent un avenir encore plus lugubre que le présent déjà morne et hostile. Pas une semaine sans une parole, un mépris de notre institution et de leurs gouvernants. C’est cela qui me terrorise. C’est de retourner affronter à bout de bras une situation très difficile qui repose sur la chance ou non d’avoir des élèves sympa, sans aucune chance de réussir à faire correctement mon travail, puisque je n’en ai pas les moyens matériels, (salle, matériel de qualité, salaire. En plus de cela, il faut espérer avoir une direction juste et compétente. Et cette dernière situation est très rare : on ne compte plus le nombre de cas de harcèlement ou d’abus des principaux que le pacte voudrait également rendre tout-puissants et transformer en néo-manager.
Ce qui me terrorise, c’est de retourner avaler jour après jour les directives injustes, les solutions indignes du terrain, les manques de l’institution que nous essuyons poliment sans faire de vague. Affronter cela en entendant le rejet de nos revendications au respect d’avoir un salaire qui nous permettent de supporter les mois d’inflation, qui nous permettent de retrouver un niveau de salaire, gelé depuis vingt-cinq ans, décent pour un fonctionnaire de catégorie A ayant fait 5 ans d’études. Ce qui me terrorise, c’est de voir que leurs réponses à tous les problèmes c’est d’engager sur une simple lettre de motivation et d’un CV des générations de professeurs contractuels non formés, parfois idéalistes, qui finissent par souffrir terriblement et se casser les dents, qu’on peut virer comme ça nous chante et surtout en juillet pour ne pas les payer de l’été. Mais vous comprenez, il faut bien garder les enfants pendant que les parents vont travailler, alors on a besoin de quelqu’un devant la classe pour garder les mômes. Peu importe si on lui balance des stylos ou s’il fait mordre par le petit loup autiste qui n’a plus d’AESH parce qu’il n’y a personne sur le poste et que c’est normal de le laisser au milieu de 27 neurotypiques qui se demandent pourquoi, très stressé, il pousse des cris en plein cours. Peu importe, puisque la garderie nationale est là pour ça. On voudrait juste du respect, pour nous et pour les gamins. Mais vraiment, simplement, demander la grâce de ne pas rendre notre métier plus difficile qu’il n’est et de nous foutre la paix pendant une semaine.
Quand je parle de tout cela, je suis sans cesse interrompue car il y a trop à dire et que c’est éprouvant pour celui qui écoute. Chacun a ses problèmes, et certains font semblant de comprendre, tout en méprisant un propos qu’ils jugent un petit peu abusé. Ah ces profs qui n’ont jamais été dans le privé, qui sont restés à l’école. Et puis tout le monde a son mot à dire sur la question, sur notre travail, ils sont passés par là. Ils ont été élèves, donc ils savent ce que c’est, le collège. Il y a des profs qui ne font rien vous comprenez, qui n’en foutent pas une. Une fois que tu as préparé tes cours, c’est bon t’as plus rien à faire. Tout le monde vous envie vos vacances mais pour rien au monde on ne voudrait devenir prof. C’est trop mal payé, et puis c’est horrible d’être face à des adolescents qui foutent le bordel toute la journée et ne vous respectent pas. Mais bon, vous comprenez. Vous avez beaucoup de vacances alors ne vous plaignez pas, jamais. Dire “je suis prof” ouvre la porte à tout un tas d’insanités en soirée, chez le coiffeur, partout où vous allez, je vous laisse faire l’expérience si ça vous chante.
Mais en attendant, si vous croisez un professeur, faites lui un câlin. Si vous êtes parent et que votre enfant vous en dit du bien, faites lui savoir par un petit mot. Pour l'aider, plutôt que l'enfoncer, à persévérer pour des enfants qui méritent une éducation qui les libère et leur ouvre l'esprit à d'autres horizons. Faites leur sentir qu'ils ne sont pas juste là pour garder les gosses, mais qu'ils servent à quelque chose, quand ils motivent un enfant et lui font découvrir le bonheur d'ecrire une histoire et de la lire à leurs camarades, quand ils lisent une nouvelle à chute et s'extasient des pouvoirs de la littérature. Parce que c'est gratuit. Parce que ça aide. Le moral des profs s'effondre, les congés maladie pour burn out se multiplient. Faites lui un câlin, ecoutez-le. Demain, il doit y retourner, avec son petit sac sous le bras, dire bonjour avec le sourire, faire le plus beau métier du monde que personne au monde ne voudrait faire.
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onceupontimebrl · 4 months ago
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Tourbillons des couleurs, des sons et des corps
On se presse dans la foule
On laisse le rythme des basses prendre le dessus
C'est la musique qui nous guide maintenant
Le réel se distord un peu
La réalité est ici et maintenant
L'impression qu'on est un tout
Que la joie transcende la foule
Qu'elle ne pense pas à demain
Ensemble avant tout
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stanisginger · 4 months ago
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Duo d'artistes, Estera Tajber et Stanis Ginger travail en binôme depuis 2024.
Avec la proposition hypnotique et répétitive, Estera joue avec le rythme, la couleur, la narration et conçoit un instant pour plonger dans le silence, les moyens d'accumuler et transmettre de l'énergie dans des processus qui n'enlèvent pas la valeur d'un seul élément ou de son individualité.
Stanis passionné de théologie comparative, construit l'espace avec des symboles (sémiologie & solipsisme) qui brisent le temps et l'espace, décomposant tous les schémas et les affirmations à la recherche d'un équilibre total et de la vérité honnête d'une représentation. Projet IMAGO .
#artistduo #duoartistes #fourhandedpainter #painter #peinture #peinturealhuile #oilpainting #acrylicpainting #artcontemporain #contemporaryart #flowers #esteratajber #stanisginger @esteratajber @stanisginger
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mrlafont · 1 year ago
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Vertige du temps. Je pense aux années 2000. Et je me demande comment cela a pu exister. Je me souviens de cette époque où la télé n’était pas aussi dégénérée. Aujourd’hui, je ne peux plus la regarder, les films de merde, les chaines d’info en continu (quelle horreur, quelle asphyxie), cette diction tout simplement insupportable qu’ont les présentateurs et journalistes. Comment les gens font-ils pour supporter cette intonation ? C’est juste incompréhensible. Tout le monde est con ou quoi ? Tout, tout est nul. Il n’y a rien à garder, rien. Tout à jeter. J’exagère pas. Je plains les enfants d’aujourd’hui qui n’ont pas connu l’époque d’avant les réseaux sociaux, qui n’ont pas connu ce que c’était qu’une vie normale, qui ne savent pas ce que c’est de vivre dans un environnement semi-clos, qui a sa particularité, son rythme, son art, ses couleurs propres, tout ce qui fait l’unicité des choses. À quoi ressemble les rêves des enfants d’aujourd’hui ? Ma ville natale, celle de mon enfance, je sais bien qu’elle ne sera jamais plus comme je l’ai connue. Je voudrais pleurer tellement c’était beau. Quand le massacre va-t-il s’arrêter ? Où est-ce que, dans ce monde, on respire actuellement ? Sur quelle terre déployer ses rêves ? Où sont l’insouciance, l’espoir, la joie ? Je regarde ces vieilles photos et je pleure, forcément, tellement ça me semble irréel. Je me souviens des soirées en famille, chez ma mère... On rêvait, à l’époque, tout le monde rêvait d’un avenir meilleur, les adultes, les plus jeunes et les vieux. Tous ensemble, le rêve. Tout le monde croyait encore à l’avenir. On était tous encore insouciants, enthousiastes, fougueux. Même dans la tristesse, même dans le désespoir, même dans la merde. Les peines de cœur, l’alcool, l’ennui. Mais toujours on avait de quoi tenir. Je me souviens... J’ai bien connu tout ça. J’étais gamin. J’avais l’œil bien ouvert. J’en ai vu des échauffourées, des verres cassés, des poings écrasés sur les murs, les pifs, des gouttes de sang partout le sol, des cuites tôt l’après-midi, des cris, des pleurs, des haleines de chacals, des nuages de fumées de gauloises bleues. Je connais très bien tout ça. Mais tout ça c’était encore la vie. Tout ça c’était encore le bonheur. Je ne vois plus ça aujourd’hui, tout le monde a fermé sa gueule. Les plus beaux sont morts, c’est bien normal, comme le veut le dicton, qui dit qu’il meurt jeune, celui qui est aimé des dieux. Mon dieu, mon dieu, mon dieu, ramenez-moi éternellement en enfance. Heureusement, bien heureusement, je la retrouve, cette mienne nostalgie, cette mienne crevure de cœur désolé, chez ceux que j’aime. Et parfois, dans leurs excès, dans leur folies, ils font encore des conneries que j’aime et qui me rappelle cette liberté et cette envie d’autrefois... Amis, parents, vous êtes ma raison de vivre. Tant que vous souffrez avec moi je n’aurais jamais peur de mourir. Je vous aime.
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transparentgentlemenmarker · 5 months ago
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Passiflora est un genre botanique de 500 espèces de plantes de la famille des Passifloraceae.
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Ce sont, dans la plupart d'entre eux, des grimpeurs ; certains sont des arbustes, et quelques autres espèces sont herbacées, celles qui sont surtout connues pour leurs fruits, le fruit de la passion La fleur de la plupart des passifleurs décoratives a une structure unique, avec la taille de différentes espèces variable. Également connue sous le nom de Fleur de la Passion ou de Fleur de la Passion, c'est un exemple parfait d'une fleur présentant des nombres de Fibonacci, car elle a une symétrie décagonale composée d'une couche externe de cinq pétales suivi d'une autre couche intérieure de cinq pét Dix, nous nous souvenons, a la proportion d'Aurea inhérente à sa forme géométrique, puisqu'elle a le double de la symétrie pentagonale qui code parfaitement la raison Phi. De plus, avec une variété de tiges violettes et blanches, il y a 5 tiges vertes en forme de T au centre et trois carpelos couleur vin dans la strate supérieure. Les fleurs sont de belles mathématiques, de la compassion, de l'harmonie silencieuse, du rythme silencieux. ~ Salvador Rueda
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